Les corps sont impatients. La mort aussi. Sournoise, elle crève d'envie de se pointer là où on ne l'attend pas. Elle choisira de faire son sale boulot dans le corps de Ninon, corps brûlant et aimant d'une vingtaine d'année. Ninon est amoureuse de Paul....
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Audrey Tautou et Romain Duris joueront Vian chez Gondry
La nouvelle est tombée pour faire taire les rumeurs d'une précédente affaire. Il y a quelques jours dans une interview donnée au Telegraph , Audrey Tautou aurait exprimé son désir de mettre fin à sa carrière d'actrice. Mais aujourd'hui, la charmante trentenaire...
Lire la suiteL'éternel problème : Ça commence par la fin
Certains films sont de véritables problèmes. Des problèmes d'ordre émotionnel. Ça commence par la fin , premier film de l'acteur Michael Cohen, appartient à cette catégorie de films, ceux après lesquels votre bouche ne sait trop si elle doit dire « j'ai...
Lire la suitePolisse, machine matrice de vérité
En mai dernier, Maïwenn et Joey Starr « foutaient » avec plaisir et talent « une grosse claque » à la, parfois très frileuse, Croisette. L'un a une fâcheuse, mais subjuguante, tendance à filmer ses bévues familiales ( Pardonnez-moi ) ou professionnelles...
Lire la suiteBlier ou l'art des sentiments cash
On l'a souvent jugé scandaleux, provocateur, misogyne aussi. Oui, le cinéma de Bertrand Blier a longtemps déplu à la douce morale française. La faute au verbe cru, éclatant et cash de Buffet Froid, aux parias obscènes des Valseuses. Tout au long de son...
Lire la suiteUn nouvel « heureux événement » signé Rémi Bezançon
Le cinéma c'est parfois la rencontre d'ingrédients irrésistibles. Aussi quand Louise Bourgoin, ancien atout charme (et cérébral) de Canal +, rencontre Pio Marmaï, garçon au grain de beauté irrésistible, dans l'univers du réalisateur du Premier jour du...
Lire la suiteLe touchant blues des amoureux
Les histoires d'amour finissent mal... en général. Stanley Donen en avait déjà fait l'expérience avec son inoubliable Voyage à deux (1967) en filmant le couple Audrey Hepburn-Albert Finney et la naissance charmante de leur amour conduisant naturellement...
Lire la suitePréférez la salle de cinéma à la plage abandonnée !
Pour se préparer au mieux à la prochaine canicule, la dingue de salle obscure que je suis vous a concocté une petite liste exhaustive de films à ne pas manquer cet été... et ce sous aucun prétexte ! Pour éviter ce qui est détestable lors de cette abominable...
Lire la suiteL'Armée du crime : film pour se souvenir
Faut pas pleurer comme ça. C'est que du cinéma. Sauf que le cinéma parfois quand il rencontre la véracité des faits historiques, il n'est plus tout à fait lui-même. Il est réalité bien avant d'être fiction. Et les larmes bien chaudes et sanglotantes à...
Lire la suiteLe Monde selon Malick
Le générique de fin a à peine débuté qu'une femme se lève déjà et quitte la salle un brin énervé semble t-il. Ensuite il y a le monsieur derrière moi qui quitte son siège rouge. Après son petit rire ironique, je discerne plus ou moins bien sa très constructive...
Lire la suiteBus Palladium ou le fantasme raté du rock
Bon on ne va pas se leurrer. On a tous bavé sur les « Come on baby, light my fire » de Jim Morrison, Jimmy pour les intimes. Salivé sur la folie du duo Keith&Mick. Fantasmé sur les prises de bec de John&Paul. Le rock est un mythe. Le mythe est intouchable....
Lire la suiteChoisir
« Choisir la vie, choisir un boulot, choisir une carrière, choisir une famille, choisir une putain de télé à la con, choisir des machines à laver, des bagnoles, des platines laser, des ouvres boites électroniques. Choisir la santé, un faible taux de cholestérol...
Lire la suiteGodard et Karina : histoire d’un amour (é)perdu entre fiction et réalité
On la contemple l’instant d’un plan émouvant, d’une chanson éloquente ou d’un travelling godardien. On l’aperçoit et on en tombe follement amoureux. De son regard irrésistible en gros plan. Sa spontanéité délicieuse. Son accent danois si charmant. On...
Lire la suiteWoody Allen dit I Love you à Paris et ses idoles
Se retrouver dans une salle obscure avec ce bon vieux Woody, c'est comme retrouver un ancien amour, celui avec qui on se bécotait à l'âge de l'adolescence et des premiers émois, en douce dans la salle de cinéma. Tout est pratiquement acquis avec ce garçon-là,...
Lire la suiteMine de rien, Jeannot il emballe sec !
Hier soir, devant mon petit écran, versant ma traditionnelle (et dispropotionnée) larme, j'ai vu mon Jeannot emballer sec. Ouais, je l'appelle Jeannot. Comme on appelait Lino Lino. Ou Belmondo Bébel. Ouais je l'appelle Jeannot parce que c'est comme si...
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