Il faut être sacrément maso pour aimer le cinéma de Pialat. Maso comme pour aimer une femme, un homme, un père, une mère. Aimer à en crever et à ne pas en comprendre grand chose. Aimer à en recevoir des coups. Car chez Pialat les coups pleuvent. Physiques...
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La tendresse de Loulou, bordel
Au hasard des rayons, j’ai embarqué un Pialat. Ou plutôt un Gégé. L’appel de l’image. Du monstre. Du loubard séduisant. Du voyou mémorable du cinéma des années 80. Dans ce cinéma-là, Gégé se prénomme Loulou. Surnom enfantin pour une brute au cœur tendre....
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