"Je me suis soigné, j’ai grandi. Mais je n’ai pas oublié cette mélancolie. Je l’ai transférée ailleurs, dans le règne des images. J’aime le cinéma, parce que si, selon Truffaut « les films avancent comme des trains dans la nuit », je peux courir à toute...
Lire la suitebrigitte bardot
Errante du coeur
J' aimerais bien refaire l'histoire. Dire la première fois c'était toisant du regard le sulfureux Gérard Philipe. Ou dans un dortoir de grandes filles avec Jean Marais. Ou bien grimée en garçon courant une passerelle, suivie de deux amoureux essoufflés...
Lire la suiteViva la Maria
Parfois, je dois bien l'admettre, j'ai envie de dire « merci dieu » de ta supposée existence, toi et ta troupe de fidèles. Tu as inventé les pires conflits possibles et en échange, ou devrais-je dire en triste consolation, tu nous a laissé de bien maigres...
Lire la suiteCerveau disponible, Bardot et féminisme
Quand ton cerveau a beaucoup de temps disponible - chômage oblige - je peux te dire qu'il ne chôme pas. Il pense à tout. Il voit tout. Il analyse tout. Du coup la machine infernale enregistre tout et tout se télescope, tout se lie, tout est politique...
Lire la suiteBardot, belle égoïste indécente
Belle, égoïste et indécente. C’est en ces termes cruellement élogieux que Sami Frey décrivait sa maîtresse Brigitte Bardot dans La Vérité de Clouzot. C’était du cinéma, et puis pas tellement finalement. Bardot mettait le grappin sur Frey devant et derrière...
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