DCB : Ça revient souvent, chez toi. Les gens sont responsables de ce qui est. Ils n'ont pas le droit de se plaindre.
JLG : Ils ont le courage de vivre leur vie, mais ils n'ont pas le courage de l'imaginer.
DCB : Et toi, tu as le courage de l'imaginer mais pas de la vivre...
JLG : Hélas, je ne fais que trop l'imaginer.
(Joyeux et nostalgique bordel d'idées sur la vie, le cinéma et la politique à lire sur
Télérama)